J’ai testé le salon de coiffure Niwel…

Et mes cheveux ont adoré :)

Je vous en avais déjà brièvement parlé dans cet article et aussi sur Instagram, mais cette expérience méritait VRAIMENT un post à part ! J’ai effectivement osé me rendre dans un salon de coiffure, après plus ou moins 5 ans d’abstinence (je vous en ai parlé plus d’une fois et, à en croire vos réactions ici par exemple, je suis loin d’être la seule à souffrir de phobie administrative du salon de coiffure !).

J’ai été invitée par Niwel, afin de découvrir leurs services capillaires (après avoir testé et surkiffé les produits de soins pour la peau, je ne pouvais qu’accepter !). Le salon est situé au deuxième étage des Galeries Lafayette Haussmann et c’est Christelle, la coiffeuse star du salon qui s’est occupée de « mon cas ». Pas trop de fantaisie dans mon aventure, je vous rassure, puisque je n’étais venue « que » pour un soin. Mais… QUAND MÊME ! Laisser quelqu’un d’autre manipuler mes cheveux me paraissait déjà complètement surréaliste !

Tout s’est très bien passé, même l’étape démêlage après le shampoing (moi qui avait l’habitude des coiffeuses qui pratiquaient surtout « l’arrachage ») ! Puis, après avoir laissé poser le soin quelques minutes, je me suis retrouvée sur les fauteuils de coiffage…

Et là, je vous avoue que le stress est monté. Je n’ai pas pu m’empêcher de demander à Christelle quels produits elle allait utiliser sur mes cheveux (oui, la grosse relou... mais sachant que j’ai testé environ 35 marques différentes rien que depuis le début de l’année, je ne pense pas trop me planter en disant que je sais EXACTEMENT comment mes cheveux réagissent à tel ou tel type de produits LOL). Après m’avoir rassurée sur le fait que les produits Niwel était particulièrement adaptés aux cheveux métissés/intermédiaires/ni boucles ni crépus, BREF, aux cheveux COMME LES MIENS, je me suis laissée faire :)

J’avais envie de repartir « comme j’étais venue » (c’est-à-dire sans trop de sophistication dans les boucles, beaucoup de volume avec un effet « naturel », sorte de mélange de bordel et de définition… facile, non ?).

(là vous vous dites « oh putain la meuf… » mais je m’en fous, je continue)

Après avoir essoré légèrement mes cheveux, Christelle a directement appliqué un sérum sur l’ensemble de ma chevelure (typiquement, le truc que je ne fais jamais, donc j’étais tendue je me demandais un peu ce que ça allait donner) puis une crème de coiffage (ouf, un classique !).

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Mais… PAS DE GEL / PAS DE TEXTURISANT / PAS DE CURL ACTIVATOR / Rien…
= panique totale.

J’explique à Christelle que mes boucles, plutôt détendues par nature, ont besoin de ce genre de produits pour avoir du rebond et de la définition. Elle m’explique qu’il n’y en aura pas besoin et qu’elle gère. Je lui fais confiance (j’ai encore du mal à y croire moi-même mais, face à autant d’assurance, pas trop le choix LOL).

Elle a ensuite créé des petits twists avant de me faire passer sous le casque chauffant… UN PEU COMME A LA MAISON (= je me détends un peu) !

Séchage comme à la maison #LeCasque #Niwel #Paris #Haussmann #Lafayette #cheveux

Une photo publiée par Priscilla Rossi (@mercredieblog) le


Une bonne vingtaine de minutes plus tard, Christelle est revenue et a défait mes twists – qui étaient encore un peu humides. Elle m’a assuré que c’était exactement ce qu’il fallait pour le look qu’elle avait en tête (à ce moment, j’aurais donné n’importe quoi pour y être, dans sa tête). Enfin… elle m’avait glissé quelques instants auparavant qu’elle était la coiffeuse de Noémie Lenoir et qu’elle et moi avions une texture similaire ! WOWWWWWWWWWW LA FOLIE J’EN POUVAIS PLUS, donc j’ai (un peu) arrêté de stresser (oui je sais, cet article sonne très « ascenseur émotionnel »).

En fait, ce n’est vraiment qu’au moment où Christelle s’est emparé d’un sèche-cheveux SANS DIFFUSEUR que j’ai failli craquer (comment ça, je prends mes histoires de cheveux trop à cœur ?). Je me suis vraiment demandé comment j’allais sortir du salon… surtout que sa technique de séchage était très étonnante (elle froissait mes cheveux en les « enfermant » dans son poing et en soufflant dessus quelques secondes à chaque fois). Christelle a ensuite « ébouriffé » le haut de mon crâne histoire de décoller les racines et donner beaucoup de volume (I like) et, à peine 5min plus tard, j’avais une méga touffe.

En revanche, les belles bouclettes que j’attendais n’étaient pas au rendez-vous (il s’agissait plus d’une énorme masse mousseuse). J’étais déçue et, parce que je pense que cela s’est vu, Christelle m’a rapidement expliqué que ce résultat était normal vu qu’elle comptait donner « du style à mon afro »

Et c’est à ce moment très précis que j’ai compris que j’avais VRAIMENT BIEN FAIT D’ÊTRE VENUE :) Christelle a sorti l’arme secrète: le fer à boucler. L’idée était en fait de construire de grosses boucles plus précises sur ma base hyper floue et volumineuse. GROS KIFF. Je n’y aurais jamais pensé ! Il était initialement question de n’en faire que quelques unes… et puis au fur et à mesure que je voyais ma nouvelle coiffure se révéler, je lui ai demandé de répéter l’opération un peu partout sur ma tête :)

Un quart d’heure plus tard, Christelle avait fini. Je suis ressortie du salon avec une incroyable masse bouclée et vraiment plus brillante que d’habitude (on m’a même complimenté sur ce dernier point alors que je me baladais dans les Galeries par la suite !). J’avais un peu les cheveux de la plus bombasses des bombes de tes copines.


Morale de l’histoire:
on ne va pas chez le coiffure pour qu’il reproduise bêtement notre routine, mais bien pour le laisser exprimer tous ses talents de COIFFURE :) Et, pour le coup, j’ai beaucoup accroché à cette technique (utilisation du fer à boucler sur une base frisée), comme vous avez pu le voir dans cet article ou sur ma photo de profil Facebook.

Amies parisiennes frisées, vous savez maintenant où aller !
Encore un grand merci à Niwel (notamment Claire et Christelle !).

 

Et pour revoir ma routine « habituelle », c’est ici: