6 choses qui m’ont été indispensables pendant la grossesse.

Avant de commencer cette petite série d’articles « grossesse et maternité » (hé oui, j’en ai préparé quelques uns, stay tuned les kids !), je voulais vous remercier d’avoir répondu à ma petite enquête Instagram. Je vous avais en effet demandé de me poser « toutes vos questions » sur le sujet et j’ai vraiment adoré recueillir vos réponses. J’essayerai donc de rebondir dessus dans tous les posts à venir !

Commençons par les 15 choses que j’ai trouvées absolument nécessaires pendant mes neuf mois de grossesse.

Photo L’instant d’une pose

J’aime bien le système de listes, ça me permet d’entrer en matière sans trop de fioritures… alors c’est parti.

1. Se créer une garde-robe simple… et efficace ! Comme je l’avais expliqué dans cet article, rien ne sert de trop dépenser en fringues dites « maternité » (hashtag arnaque du siècle), surtout si vous n’avez rien contre les robes et les jupes tubes: elles seront vos alliées pendant vos derniers mois de grossesse, quelle que soit la saison (et en plus, elles existent dans toutes les couleurs et avec tous les détails possibles et imaginables – boutons pressions, décolletés…). Et vous pourrez les reporter après avoir accouché ! Pour « l’après », justement, je me suis aussi beaucoup tournée vers les jupes à taille élastique (pendant le moment un peu bâtard du corps « trop slim pour remettre un fat jean de grossesse » mais « trop fat pour rentrer dans un jean slim« ). Notez que les chemises surtaillées (de votre mec par exemple, sachant que plus il est gros et grand, mieux ça rendra sur vous), sont top aussi :)

2. S’offrir – au moins – un beau pyjama (comprenez, joli, confort et de bonne facture pour résister à… tout ce qui va vous arriver héhéhé…) et aussi une chouette robe de chambre (je crois qu’on appelle ça « kimono » maintenant, mais les vieilles comme moi avaient de toute façon direct compris quand j’ai dit « robe de chambre »). Combien de fois j’ai été sauvée par cette dernière (quand tu allaites à moitié à poil et que le livreur sonne à ta porte, quand tu dois te réveiller en pleine nuit et préparer un biberon en moins de 5sec parce que bébé hurle et que ça caille un peu dans l’appart… ou tout simplement POUR RESTER TOUTE LA JOURNÉE ENFERMÉE CHEZ TOI AVEC LE SENTIMENT D’ÊTRE PAS TROP DÉGUEU, AU MOINS VESTIMENTAIREMENT PARLANT). Moi par exemple je me suis réfugiée dans ce « déshabillé » et, grâce à lui, j’ai eu l’impression d’avoir à peu près la classe en presque toutes circonstances.

3. Prendre grand soin de soi. Non pas que vous n’aurez plus le temps après (on me l’avait asséné mais, rassurez-vous, tout reste à peu près possible, même le shampoing – masque – gommage – épilation hebdomadaire #ilsuffitdycroire), simplement que ça vous fera tellement de bien. En effet, rien de plus agréable que de se sentir trop fraîche pendant la grossesse (hé ouais je suis toujours là pour sortir les sons du passé) ! Comme expliqué dans ma story grossesse (à la une sur mon profil IG), j’ai eu trois adresses incontournables pour cela (à Genève): Martine de Richeville pour garder la ligne tonique (et accessoirement et sans cellulite – par contre j’en ai plein depuis l’accouchement, pour la première fois de ma vie… y’a pas de justice), Forever Institut pour les drainages lympathiques qui soulagent et transportent les liquides stagnant en fin de grossesse (top contre la rétention d’eau) et enfin le salon Cazance pour se (re)faire une beauté capillaire (j’y suis allée pour un « glossing » doux (avec un max de composants naturels) ce qui m’a permis d’avoir les bouclettes resplendissantes et avec de jolis reflets chocolat… le petit plus qui fait kiffer en fin de grossesse !).

Des petits reflets et une brillance qui font plaisir.

4. Se trouver une « buddy de grossesse ». Moi qui suis plutôt du genre « solitaire » (ou plutôt #introvertie), je n’avais pas spécialement prévu (ni besoin) de partager mes ressentis, doutes, questions… avec qui que ce soit. Jusqu’à ce que je découvre que mon amie Ella était enceinte au même moment que moi (et, cerise sur le gâteau, on a accouché le même jour). C’était vraiment génial de pouvoir vivre le truc ensemble (et de s’écrire jusqu’à la salle d’accouchement !). Et ça l’est toujours d’ailleurs, d’autant plus que nos petits ont strictement le même âge ! Alors, bien sûr, on ne choisit pas de tomber enceinte en même temps que ses copines (quoique… lol). Pour celles qui se retrouveraient « seules » dans cette situation, je me dis que ça pourrait éventuellement être cool de suivre la grossesse d’une personne que l’on suit sur les réseaux (blogueuse, youtubeuse, célébrité), du moment que celle-ci est un minimum « accessible » (Kayla Itsines et son physique inouï à toute épreuve enceinte par exemple, à part foutre les boules, c’est pas forcément une bonne idée).

5. Prévoir les sachets de Gavisconell si vous souffrez de remontées acides: ça m’a sauvée, à chaque coucher (d’ailleurs j’en ai toujours un petit monticule au bord du lit, pour la nostalgie). On m’a aussi parlé du gingembre (mais je ne sais pas sous quelle forme ça se consomme et je n’ai personnellement pas essayé).

6. Se booker à l’avance un ou plusieurs jours « off », sans bébé. Autrement dit, se constituer une sorte de « porte de sortie » (ça peut être un jour, une soirée, une après-midi) où il est convenu que vous puissiez faire autre chose que gérer bébé. Cela implique de pouvoir compter sur le conjoint, papy/mamie… pour se libérer un peu de temps et simplement faire autre chose (pas la peine de se mettre une mine, juste ne pas rester dans les couches et les biberons pendant quelques heures, ça vous fera déjà beaucoup de bien). Ca peut être salvateur le premier mois (perso, j’étais sur une autre dimension le soir où j’ai pu sortir m’aérer la tête avec mes potes, papa gérant bébé à la maison). Et puis le fait d’avoir une date fixée à l’avance, ça donne un horizon plein d’espoir pour les jours où on en aura raz-le-*** – brutal honesty – car, oui, il y en aura des comme ça (à développer dans un prochain post…).

A tout bientôt, comme ils disent en Suisse.

J’ai testé pour vous… l’épilation du maillot au laser.

Comme beaucoup d’entre vous, la question de l’épilation définitive m’a longtemps trotté dans la tête. J’ai décidé de franchir le pas en 2015 et, comme je suis arrivée à la fin des séances, l’heure est venue de partager mon expérience avec vous.

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Pour tout vous dire, je n’ai jamais eu de vrai « problème de poils »: je peux ne pas m’épiler les jambes pendant toute une saison sans que cela ne se voit (petite perte en capital douceur à signaler quand même..!), bref globalement j’ai la chance d’avoir un corps peu poilu.. A croire que tout est allé sur la tête. En revanche, certaines zones ont toujours été chez moi sujettes aux poils incarnes, le maillot particulièrement (et ce, qu’importe la méthode d’épilation: poil rasé, poil arraché… rien n’y fait j’y ai toujours droit). Or, qui dit poil incarné sur peau mate dit tache brune pigmentée dit angoisse du bikini (si toi aussi tu as fréquenté la #teamshorty..!). J’avais donc envie d’en finir une bonne fois pour toutes. Et plutôt que de vous faire tout un storytelling de la manœuvre, je vous propose de découvrir mes réponses aux questions / remarques que j’ai le plus entendues sur le sujet (l’épilation du maillot et l’épilation définitive, deux sujets qui passionnent les foules).

« L’épilation laser n’est jamais vraiment définitive… »
Techniquement, un poil détruit par le laser ne repousse pas (sauf changement hormonal, ménopause par exemple). Mais dans la pratique il est un poil plus ardu de TOUS les avoir: certains passent à travers les mailles du filet et le laser ne pourra donc pas en venir à bout. Je rappelle cependant que, dès la première séance, le poil devient déjà beaucoup moins épais. Quant aux récalcitrants de fin de parcours, ils auront de toute façon davantage l’apparence d’un duvet que d’un vrai poil.

« C’est tellement long, j’ai pas le temps ! »
La séance (pour le maillot) dure seulement dix minutes (perso, j’y allais entre midi et deux ou après 18h). En revanche, il faut prévoir une séance tous les deux mois. Comptez entre 6 et 8 séances en moyenne pour un résultat optimal… il ne vous reste plus qu’à faire le calcul (et à « organiser votre année » !).

« Il faut un sacré moment avant de pouvoir constater les premiers effets »
C’est faux. Dès la première séance, vous verrez vos poils repousser… puis tomber tous seuls (parce que grillés !), et les prochains mettront beaucoup plus de temps à refaire surface… d’où le délai de 2 mois entre deux séances.

« Le laser est interdit sur peau mate ou noire, il ne fonctionne que sur les peaux claires et les poils foncés ! »
Au risque de vous surprendre… c’est FAUX. Come on, on est en 2017 ! Encore heureusement qu’il existe des instituts capables de traiter les peaux foncées (et très bien en plus !). Pour ma part, je me suis tournée vers Forever Laser Institut (dont je vous avais déjà parlé dans cet article) qui dispose du laser Nd:YAG permettant d’épiler les peaux noires en toute sécurité. J’ai ainsi été suivie par Mélanie (de mon premier entretien médical jusqu’à ma dernière séance) qui, en plus d’avoir toujours été hyper pro, m’a vraiment rassurée tout au long de ce projet (on a aussi bien rigolé, ce qui n’était pas pour me déplaire !).

« Ça fait mal ? »
Oui (comme des claquements vifs d’élastiques sur la peau). Voilà voilà. Mais je vous rassure, j’ai survécu (et des milliers de femmes avec moi). Pour info, les aisselles et le maillot font plus mal que les jambes car il y a plus de poils au mmsur ces zones. J’ai TOUJOURS utilisé ma crème anesthésiante (appliquée 1h30 avant la  séance), absolument indispensable pour moi qui ne suis pourtant pas douillette. J’en profite pour glisser que devoir s’enrubanner de film plastique est sans doute le truc le plus chiant de tout le process lol (surtout quand vous devez le faire sur votre lieu de travail !).

« On ne peut pas épiler toutes les parties du corps au laser… »
Hé si ! On peut tout épiler, même les zones les plus sensibles (comme le visage, les aisselles, le bikini…).

« Le maillot c’est une zone difficile à traiter au laser… »
Raté, c’est en fait ce qui marche le mieux (car on est en général plus blanches du maillot que sur le reste du corps, avec des poils sombres).

« D’après la Bikini Academy, il n’existe que trois formes d’épilation du maillot… »
Non, vous faites bien le dessin que vous voulez (dans la limite du raisonnable, il faut quand même que ça reste réalisable par la thérapeute… qui n’est pas artiste plasticienne non plus).

« Je commence bientôt les séances, je vais pouvoir jeter tous mes rasoirs ! »
Pas tout de suite malheureuse ! Je te conseille d’en garder au moins un étant donné qu’il te faudra te rendre fraichement rasée (24h) à la séance pour un résultat optimal.

« J’ai peur des effets secondaires… »
On a toutes entendu parler de ces femmes qui se sont retrouvées cramées ou bien avec une pigmentation complètement différente une fois la zone traitée (le bo-nheur !). Alors, vraiment, prenez le temps de choisir le centre: c’est de loin l’étape la plus importante, surtout si comme moi vous avez une peau « typée ». Les seuls effets secondaires constatés: quelques rougeurs ou petits gonflements (répondant au doux nom de papules). Dans certains cas vous pouvez aussi vous retrouver avec de petites brûlures superficielles se manifestant par des croûtelles (poésie, encore et toujours): pas de panique, celles-ci disparaissent rapidement et sans marquer.

« Les mises en garde (soleil, prise de médicaments…), c’est du bullshit ! »
NON ! Je vous assure que j’ai douillé sévère pendant une séance suivant une prise d’antibiotiques. PRUDENCE également avec le soleil: une peau bronzée (même par autobronzant) ne pourra pas être traitée au laser (tout thérapeuthe sérieux refusera de vous prendre de toute façon). Et si vous partez en vacances pendant votre traitement laser, n’oubliez pas de SURPROTEGER la zone traitée (maillot de bain opaque + crème + idéalement parasol ou paréo… oui, rien que ça !).

« Ca coûte cher ? »
Oui. Demandez les tarifs de l’institut que vous aurez sélectionné. Certains proposent parfois des facilités de paiement, voire même carrément des promotions (mais encore une fois, soyez TRES vigilantes et ne sautez pas sur un centre pour des raisons financières !). Une machine cheap ou des praticiens mal formés pourraient en effet vous coûter biiiiiiien plus cher… Comptez aussi le prix de la crème anesthésiante que vous devrez probablement acheter plusieurs fois en pharmacie.

« Vu le prix, si c’est juste pour enlever deux trois poils, autant rien faire ! »
Dans le même esprit que « Quitte à se faire poser des extensions capillaires, autant choisir les plus longues » ou encore « Vu le prix d’une augmentation mammaire, autant mettre les plus gros implants !« … Stupide donc. Enlevez uniquement ce qui vous gêne vous en gardant à l’esprit qu’il vaut mieux enlever pas assez que trop (parce que l’épilation définitive c’est… ? c’essssst ? VOILA !). Bref, ne suivez pas « la mode » ;)

« Tu recommandes ? »
Mille fois oui ! Je remercie une nouvelle fois Forever Institut pour ma prise en charge impeccable et sa grande disponibilité (j’ai obtenu tous mes rendez-vous très facilement et sans attente à chaque fois !).

Et vous, avez-vous déjà testé des méthodes d’épilation longue durée, voire définitive ? Si non, ça vous tente ? Quelle zone feriez-vous en premier ?