Ma nouvelle routine capillaire (dont mon produit 100% naturel chouchou pour définir les boucles !).

Avant toute chose, PARDONNEZ-MOI pour le teasing de fou. Je sais que cela fait des semaines que je vous promets cette routine, la voilà enfin (genre, ça y est, tout le monde peut respirer maintenant).

C’est pas pour me la péter… mais à chaque fois que je poste une photo avec mes cheveux bien visibles (je vous laisse méditer sur ce que cela veut dire…), vous êtes toujours tellement nombreuses à me poser mille questions sur ma routine (mes produits préférés, comment je dors, est-ce que je prends des compléments alimentaires, blablabli blablabla). J’y répondais la plupart du temps partiellement car je n’avais encore pas trouvé la routine « parfaite » pour mes cheveux. Cheveux qui, je le rappelle, sont repassés par la case décoloration (légère, par mèche, et à l’argile… mais décolo quand même, effectuée par la magique Magali, la seule coiffeuse à qui je laisse sans appréhension aucune mes boucles, pour un soin, une coupe, une couleur…).

Trouver la bonne routine, c’est une quête longue et complexe, surtout si, comme moi, vous vous lavez les cheveux « rarement » et que cela vous prend au moins deux bonnes heures à chaque fois. Autrement dit, je suis plutôt pour les découvertes, mais je redoute quand même aussi les tests foireux.

Cela signifie aussi que juger l’efficacité d’une routine prend facilement plusieurs semaines, voire mois (le temps de voir si l’effet dure, si ce n’était pas simplement un « coup de chance »…). Si trouver la routine idéale se résumait à acheter une gamme entière supposée répondre à nos besoins, ça se saurait (et je n’aurais pas dépensé cent balles dans une collection Kérastase qui ne m’aura finalement pas tant émerveillée que ça… oops !).

Partager mes « trouvailles » en la matière me donne ainsi toujours un peu d’émotion (et de stress) car je sais que vous m’attendez au tournant, vous me mettez la pression. J’espère que c’est donc pas pour rien que je me décarcasse ! Evidemment, ces recommandations s’adressent à une population ayant le même type of hair que moi, sinon je ne garantis pas le résultat… On vit dans un monde où il faut disclaimer à peu près tout, non ?

Oh, et un second disclaimer : cette routine est un mix de produits 100% naturels et bio et de produits issus de la pétrochimie. Parce que la vie est trop courte et que j’aime trop les cocktails.

Shampoing Phyto « Detox » – Masque (utilisé en après-shampoing) Photo Specific
– « Power Mask » Elsève (dispo ici et ici)

J’aime quand j’ai des coups de coeur absolument inattendus, par exemple avec la marque Phyto, qui est devenue ma référence « lavage ».

J’avais pu essayer plusieurs produits de la marque (toutes gammes confondues), sans jamais avoir été 100% convaincue… et pourtant le shampoing « Detox » a été pour moi une révélation. Je me suis rendue compte que c’était exactement le shampoing qu’il me fallait : ultra frais et revigorant (grâce à ses notes mentholées), il nettoie impeccablement le cuir chevelu (je rappelle qu’on n’applique le shampoing QUE sur le cuir chevelu, pas sur les longueurs, en rinçant le produit glissera dessus et les nettoiera automatiquement). Pourquoi ça me plaît ? Tout simplement parce qu’après avoir tenté les expériences de low-poo, de shampoing uniquement à l’après-shampoing et autre « shampoing doux », j’ai réalisé que rien ne valait un cuir chevelu parfaitement clean pour, non seulement garantir une pousse plus saine, mais aussi permettre une meilleure absorption des soins appliqués par la suite.

C’est juste une question de bon sens : si le cheveu est enduit de couches de produits (après-shampoing mal rincé, crèmes, huiles…) que l’on ne prend pas le temps de bien retirer à chaque shampoing, il finit par s’encrasser et les soins/produits de coiffage ont donc moins d’effet au final. Et c’est dommage quand même.

Cet expérience réussie avec le shampoing m’a donné envie de ressortir de mes placards un masque de la même marque (de la gamme « Phyto Specific » cette fois, reçue plusieurs années auparavant). Je l’ai utilisé en tant qu’après-shampoing démêlant (avec ma brosse Denman), et depuis c’est la mission que je lui ai attribuée !

Après avoir démêlé et rincé mes cheveux, je laisse ensuite poser toute la nuit le « Power Mask » d’Elseve. En une seule application, il a su me convaincre et, on ne va pas se mentir, ce genre de format mastoc c’est quand même super pratique quand on a plus que trois poils sur le caillou.

Le lendemain (bon, en vrai, ça m’arrive de garder mon masque un, deux, voire trois jours d’affilé quand j’ai absolument pas le temps ahaha !), je rince mon masque, et attention c’est important : LA TÊTE EN BAS. Troisième disclaimer : à partir d’ici, si vous suivez ma routine, soyez prêtes car vous allez rester la tête en bas encore un moment.

Idéalement, je place dans ma baignoire (à portée de main donc), mes trois produits styling que j’applique sur cheveux trempés (pas juste mouillés ou humides, NON, il faut que ça dégouline et que mes boucles soient saturées d’eau afin de garantir une définition par-faite).

D’abord, de l’aloe vera pure. Je ne compte pas le nombre de pressions effectuées sur la bouteille : plus j’en mets, mieux c’est. Je n’avais jamais pensé à appliquer une texture « gel » comme l’aloe vera avant mes autres produits (c’était plutôt la touche finale pour moi d’habitude) et c’est encore une fois Magali du salon MissMag qui m’a montré cette technique. J’applique donc le produit très généreusement sur mes longueurs, en répartissant et démêlant mes cheveux aux doigts à chaque fois, par sections.

En plus d’apporter une superbe définition aux boucles, l’aloe vera a des vertus hydratantes sans pareilles, puisque composée à 99% d’eau il me semble (je suis pas Jamy non plus, oh).

Quand je me demande si j’aurai suffisamment d’aloe vera à mon prochain Wash Day…

Une fois mes bouclettes bien imprégnées, j’applique quelques pressions du leave-in Mielle Organics « Pomegranate & Honey », suivi du smoothie de la même gamme.

Mielle Organics est une marque naturelle et bio, qui ne contient pas d’ingrédients chimiques : ça ravira les fans de compo dites « clean ».

Je continue de peigner mes cheveux avec mes doigts, en veillant à ne pas défaire les boucles (il faut qu’elles restent quand même assez bien « regroupées » entre elles, vous voyez l’idée ?).

Leave-in et Curl Smoothie Mielle Organics (disponible sur le site HappyCurls en Suisse !)

Ensuite – je rappelle que j’ai toujours la tête en bas – je « crunche » mes cheveux, c’est à dire que je « froisse » grossièrement mes boucles, à pleines mains, en remontant vers mon crâne. Dernière étape avant séchage, je secoue mes cheveux de chaque côté et d’avant en arrière, pour décoller au max mes racines.

J’utilise pour finir mon sèche-cheveux Dyson Supersonic et son diffuseur, une étape qui me prend bien une bonne demie-heure. J’utilise le niveau 1 de chaleur et le niveau 3 de puissance. Sur la fin, quand les cheveux sont 90% secs, je retire le diffuseur, garde la même puissance et passe au niveau froid, tout en secouant plus vigoureusement la tête et en passant mes doigts dans mes racines pour les décoller et les sécher à fond.

Une fois mes cheveux secs, j’applique l’huile de soin Tokio Inkarami : j’adore la texture et l’odeur légère, et mes boucles aussi. Par contre le produit est assez cher.

Je ne suis pas tellement convaincue du niveau de « nutrition » de ce produit, ceci dit j’aime beaucoup la brillance qu’il m’apporte.

Touche finale : un coup de peigne afro (perso, j’ai lui) pour décoller mes racines (ça fait COMBIEN de fois que je répète ça ? On va finir par croire que j’ai du beurre sur le cuir chevelu…) et apporter la dose de volume qui me convient !

Petit résumé photographique de haut vol de ma routine styling :

Gel d’aloe vera bioLeave-in Mielle Organics – Curl Smoothie Mielle Organics – Huile Tokio

Avant de m’endormir (et parce que je n’ai pas envie de ruiner tous ces efforts en une nuit seulement), j’enfile un bonnet de satin XXL, qui me donne des airs de Jackson 5, de pizzaiolo ou de Ronald McDonald selon la couleur choisie.

Top pour les boucles, très moyen pour le couple, faites les bons choix.

Voilà, voilà. j’espère que vous aurez appris des choses, et surtout eu envie d’appliquer ces produits et ces petites techniques.

PS : Je précise que je ne tiendrai absolument pas compte des remarques visant l’allure de mes draps : mes cheveux me prennent déjà suffisamment de temps comme ça pour que je me rajoute du repassage.

J’ai testé pour vous… le steamer purificateur IGGI de Laurastar !

Salut là-dedans.

Inutile de vous rappeler les précautions sanitaires très en vogue ces temps-ci… et pourtant, l’hygiéniste qui sommeille en moi (enfin non, ma petite maniaquerie est plus que visible, surtout si vous avez déjà passé une journée avec moi ahah !) ne peut s’empêcher de revenir sur la question. Si mes standards, pour le moins poussés, occupaient déjà une part importante de mon quotidien (voire, me le rendaient difficile… tiens, je devais pas vous faire un article dessus d’ailleurs ? allez je me note ça pour a suite !), autant vous dire que le fameux « 2020 mood » m’a rendue complètement psychopathe.

Pour la faire courte, parmi mes pires cauchemars figurent : les plats en self-service où tout le monde peut postillonner allègrement dedans, la vaisselle installée longtemps avant les repas dans laquelle tombe des milliers de particules de poussières (tiens, ça me rappelle que j’avais été assez casse-c******* pour mon mariage avec ça, n’est-ce pas Estelle ? LOL), les appuis-tête dans les transports en commun (AU-SECOURS), la colocation (sorry not sorry), les traces de doigts sur les gâteaux ou les fromages, les gens qui zappent le lavabo après être sortis des chiottes, à peu près tous les interrupteurs hors de chez moi, cette personne qui me tend son téléphone comme si j’avais vraiment envie de le toucher, les couvercles de poubelles, ces personnes qui posent nonchalamment leurs biscuits, gâteaux, sandwiches DIRECTEMENT sur la tablette du train ou la table de pique-nique publique, ou encore les fous du gel hydro-alcoolique qui ne se lavent jamais les mains à l’eau et au savon… J’en passe et des meilleures. Et, tout ça, c’était avant le Covid (oui je refuse de dire « la Covid »).

Pas étonnant que j’en vienne à « apprécier » le confinement : hygiénisme + introversion + home-office + distanciation sociale = BIG LOVE.

Evidemment, avec un chien qui – spoiler alert – MARCHE PARTERRE et un bébé de 18 mois – qui ferait quand même un peu la gueule si je refusais de pousser sa balançoire au parc parce-que-je-ne-sais-pas-combien-de-gens-l’ont-touchée-avant… je suis un peu obligée de travailler sur moi.

Maintenant que vous savez tout ça… Comment vous dire que j’ai tout de suite su que IGGI était pour moi ?

Franchement, regarde l’état dans lequel il me met ?

Bon, j’y vais un peu vite, je n’ai même pas pris le temps de vous expliquer de quoi il s’agissait… l’excitation sans doute.

Alors voilà : IGGI, c’est le dernier défroisseur vapeur de Laurastar, la marque suisse de référence dans les systèmes de repassage de qualité pro. Un petit appareil si puissant, qu’il défroisse toutes mes fringues, rapidement et simplement. Les plus maniaques seront par ailleurs enchantées de pouvoir l’emmener partout, du fait de sa petite taille.

Pratique ce gant de protection pour garder en main les parties à défroisser !
As-tu déjà pensé à la quantité de saletés présentes dans tes cols de veste ? MOI OUI.

Un autre truc que j’ADORE avec IGGI : cleaner et prendre soin de mes pulls en laine. Pour tout vous dire, je me « privais » de les porter car je savais que leur entretien était compliqué (comprendre « les boules de payer un pressing juste pour avoir en avoir porté un quelques heures…« , oui parce suite à quelques catastrophes maison, j’évite de les laver moi-même). D’autant plus dommage que je porte rarement mes jolies mailles dans des occasions « salissantes » ou à-même la peau.

IGGI me permet donc de profiter à fond de mon dressing, même de mes pièces les plus délicates !

Je vous explique : après avoir porté mon pull, un coup de vapeur haute pression l’assainit en un éclair… et le repulpe aussi (vous savez, en redonnant l’aspect fluffy du pull neuf, dont on raffole toutes… mais qui disparaît toujours après le premier lavage LOL !). Les fibres de mes lainages restent au top, belles et douces comme au premier jour. Vraiment un petit luxe à mes yeux cette impression de porter un nouveau pull à chaque fois.

Cette petite merveille Ba&sh, modèle « Barmy », élue pull de l’année 2020 par moi.

Bon, et c’est là que vous commencez à vous demander : « Mais QUEL RAPPORT avec sa longue intro anti-bactérienne ?« . J’y arrive ! IGGI, c’est aussi un PURIFICATEUR : le premier steamer portable qui désinfecte et décontamine tissus et objets du quotidien.

Il élimine 99,9% des bactéries et des virus (dont le Covid-19) et 100% des acariens. *Résultats prouvés scientifiquement par des laboratoires indépendants.

IGGI est donc un moyen redoutable de désinfecter naturellement les matières et surfaces sans avoir recours à aucune substance chimique. Sappes, accessoires, masques réutilisables, casques de moto, poignées de portes, de valises, clefs… franchement, pourquoi s’en priver ? En tout cas, pour moi, c’est le kiff absolu !

Et vas-y que je te désinfecte les doudous et peluches du petit… à qui le tour ?
Alors, convaincues ?

Photos by Alexandra Christin Photographe 
Article réalisé en collaboration avec Laurastar

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