Six erreurs que j’ai commises avec mes bijoux en diamant.

Et c’est là que vous vous dites, « Mais c’est devenu la Castafiore, ou quoi ?« . Rassurez-vous, je ne suis toujours pas branchée parures de bijoux et autres rivières de diamants…

Bracelet en or rouge avec diamants Baunat – Blazer Tagliatore

Bien que je me surprenne parfois à admirer les quelques jolies pièces disposées dans mon dressing, je ne porte finalement que très peu de bijoux au quotidien : mon alliance, ma bague de fiançailles, la bague de mes 30 ans et ma médaille de baptême. Bien sûr, il m’arrive de varier les plaisirs (pour des occasions, des shootings, ou avec une tenue spéciale), mais grosso modo vous avez là mon quatuor gagnant. Je n’ai d’ailleurs aucun mal à associer or et argent à ce niveau-là (alors que porter mon perfecto à fermetures argentées avec un sac aux détails dorés me paraît absolument inconcevable par exemple, allez comprendre ahah !).

C’est simple, je ne quitte JAMAIS ces bijoux. Flemme intense ? Peur de les égarer ? Je ne sais pas trop d’où cela vient, en attendant je ne les enlève pas avant de prendre ma douche (ceci explique pourquoi je n’achète même plus de fantaisie, vu la vitesse à laquelle ils rouillent ou me donnent des allergies) ou d’aller au lit. MAIS je sais que c’est mal ! Et c’est la raison pour laquelle je partage avec vous aujourd’hui ces règles d’or (oh ohhh !) apprises lors de ma rencontre avec la bijouterie en ligne Baunat (j’ai le plaisir de vous offrir une réduction de 3% sur tous leurs bijoux en diamant, avec le code « mercredie3« ).

1. Ne pas profiter du nettoyage professionnel

La plupart des bijoutiers proposent aujourd’hui un nettoyage pro (parfois gratuit si vous avez acheté vos pièces chez eux), avec des produits et outils de nettoyage spécialement conçus pour traiter les métaux précieux et les pierres précieuses (ultrasons par exemple). Perso, j’apporte mes bijoux une fois par an en boutique : après les avoir récupérés, j’ai TOUJOURS au moins un commentaire sur la brillance de ma bague de fiançailles, ce qui me fait me dire que ça valait clairement le coup ! Le bijoutier pourra également polir les bijoux rayés si nécessaire, et ainsi leur redonner une vraie nouvelle vie.

Solitaire saphir rond et diamants Baunat
Boucles d’oreille en or blanc et diamants Baunat – Solitaire saphir rond et diamants Baunat – Bague superposable en or blanc et diamants Baunat – Veste en cuir Stories

2. Zapper les nettoyages intermédiaires

Ce n’est pas parce que le bijoutier utilise du matériel professionnel qu’il ne faut pas prendre soi-même soin de ses bijoux. Il existe en effet des techniques toutes simples pour redonner tout la brillance à vos bijoux depuis chez vous ! Le diamant a beau être l’un des matériaux les plus solides du monde, il doit pourtant être cleané en douceur afin d’éliminer les couches de détergents ou de cosmétiques courants (savon, crèmes, huiles pour les cheveux, parfums…) qui le rendent terne et gras. Baunat conseille de laisser tremper ses bijoux en diamant pendant une vingtaine de minutes dans une solution d’eau tiède et de savon doux, avant de le brosser tout doucement avec une brosse à dent souple et de le rincer à l’eau chaude. SURTOUT PAS de produits chimiques agressifs tels que la javel, le chlore ou l’acétone ou d’abrasifs tels que le dentifrice ou le bicarbonate de soude : ils pourraient décomposer certains éléments de votre bijou !

3. Garder mes bijoux à la plage

Les grains de sable ne sont pas très potes avec les métaux précieux : ils peuvent effectivement s’insérer dans le sertissage des diamants et du métal… et il vaut mieux alors faire appel à un professionnel pour les retirer en toute sécurité. Investissez plutôt dans un superbe maillot de bain si vous tenez absolument à briller de milles feux :)

4. Faire trempette avec mes bijoux

Idem ici : l’eau (salée ou chlorée) peut provoquer l’érosion des parties soudées des bagues en or par exemple, voire carrément des fissures dans vos bijoux. L’or rouge en particulier, est super sensible au sel du fait du cuivre contenu dans ce métal précieux. Alors ne faites pas comme moi, retirez tout avant de vous baigner (et veillez à les garder en sécurité, dans le coffre-fort de l’hôtel si vous êtes en vacances par exemple) ou, si le « mal » est fait, pensez à bien nettoyer vos bijoux s’ils sont entrés en contact avec du chlore.

Bracelet en or rouge avec diamants Baunat

5. Ranger ses bijoux n’importe comment

Qui c’est qui avait l’habitude d’entreposer tous ses bijoux, agglutinés les uns les autres dans une boîte ou un pochon complètement à l’arrache, ou bien en plein soleil sur un porte-bijoux ? C’est moi ! Erreur fatale, rien de mieux à faire pour les égratigner ou les endommager. Mieux vaut les conserver, séparément, dans leur emballage d’origine ou un tissu souple, loin de la poussière ou de l’humidité qui pourrait les faire s’oxyder.

6. Ne pas me renseigner sur la provenance des diamants et pierres précieuses

Basée physiquement à Anvers, la bijouterie Baunat (disposant d’un showroom que j’ai eu le plaisir de visiter à Genève, mais aussi à Amsterdam, Düsseldorf, Paris, Zürich, Londres, Mumbai et Hong Kong) achète ses diamants directement à la source (à Surat en Inde), tous 100% naturels non traités, incolores, impeccables à l’oeil nu et, critère primordial pour moi, certifiés sans conflit, selon le Processus Kimberley, un système international garantissant la provenance de régions en paix, dans lesquels hommes et femmes travaillent dans des conditions respectables. Baunat exerce par ailleurs en flux tendu (pas de stock, les bijoux sont créés à la demande), ce qui permet à l’enseigne de proposer des prix vraiment avantageux, pour une qualité de diamant incomparable… comme vous pouvez le voir sur ces photos :)

Boucles d’oreille en or blanc et diamants Baunat – Solitaire saphir rond et diamants Baunat – Bague superposable en or blanc et diamants Baunat – Veste en cuir Stories

Article réalisée en collaboration avec Baunat
(3% de réduction sur l’achat de tous bijoux en diamant avec le code « mercredie3 »)

Perfetto.

L’autre jour (enfin disons plutôt juste avant la canicule intense du moment…), j’ai fait péter le perfecto. Je ne dirai volontairement pas mon perfecto puisque, si vous avez suivi l’affaire, c’est celui de mon Papa. Je vous en parle aujourd’hui, même si je suis complètement hors-saison, vous ne m’en voudrez pas…

Ah qu’est-ce que j’ai pu entendre parler de ce perfecto pendant mon enfance, tout ça sans jamais le voir vraiment finalement. Mon père en parlait comme d’une pièce superbe, sa première – et sûrement sa dernière – belle acquisition mode de « quand il était jeune ». Mais le perfecto en question, coincé dans le placard de « la pièce du fond » (est-ce que, vous aussi, vous donnez des noms complètement cons à certains coins de chez vous ?), n’avait donc jamais pu voir la lumière du jour. Concrètement, personne ne se risquait à ouvrir ce placard, réputé pour être à deux doigts de craquer (et de toute façon situé dans une pièce devenue complètement inaccessible, puisque dédiée au « stockage »…). De toute façon j’imaginais le « perfecto secret » comme une veste de motard en cuir, pas très bien coupée et complètement has been

Les années, les décennies même, passèrent, et il aura fallu attendre un déménagement pour enfin voir surgir la bête des cartons, dans un état proche de la perfection à ma grande surprise. C’est simple, quand j’ai enfin rencontré le perfecto, j’ai regretté de ne pas avoir ouvert le placard plus tôt !

L’instant a été immortalisé dans la foulée. Ce jour-là, j’en ai même profité pour jouer un peu avec vos nerfs en vous demandant si je devais la laisser à Chambéry ou la ramener à Genève. Hashtag « QUELLE QUESTION ? » !

Je l’ai emmené une première fois en vadrouille avec moi, à Courchevel, et il ne m’a tout simplement plus quittée depuis… une fois enfilé, à jamais adopté.

Coupe oversized parfaite (involontaire, certes, mais c’est ça qu’on aime !), superbe qualité, dans ma « couleur » préférée… En vrai, je me demande si mon père ne l’avait pas acheté pour moi avant même que j’arrive ! La passion ne s’arrête pas là puisque je me suis retrouvée en contact avec un afficionados de la marque, qui est venu jusque dans mes messages privées Instagram pour commenter la pièce, m’indiquant son année de sortie, et me sommant de recoudre urgemment l’étiquette intérieure pendouillante. Il existe donc une communauté Schott visiblement très à cran et active sur les réseaux.

Bref, moi qui m’étais jurée de ne plus jamais racheter de perfecto depuis mon acquisition du Balenciaga, je dois dire que « le perfecto de Papa » apporte une jolie touche masculine – androgyne et un poil nostalgique qui se marie très bien avec mes looks d’aujourd’hui ! La preuve que certaines pièces ne vieillissent jamais vraiment…

Perfecto Schott vintage – Jean Levi’s 501 vintage – Gilet Sézane – Ballerines « Brigitte » Repetto – Sac de Jour St Laurent
Photos @mxdgirl

Et vous, quelle pièce « culte » avez-vous récupérée de vos parents / grands-parents ?

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