Salut là-dedans.
Inutile de vous rappeler les précautions sanitaires très en vogue ces temps-ci… et pourtant, l’hygiéniste qui sommeille en moi (enfin non, ma petite maniaquerie est plus que visible, surtout si vous avez déjà passé une journée avec moi ahah !) ne peut s’empêcher de revenir sur la question. Si mes standards, pour le moins poussés, occupaient déjà une part importante de mon quotidien (voire, me le rendaient difficile… tiens, je devais pas vous faire un article dessus d’ailleurs ? allez je me note ça pour a suite !), autant vous dire que le fameux « 2020 mood » m’a rendue complètement psychopathe.
Pour la faire courte, parmi mes pires cauchemars figurent : les plats en self-service où tout le monde peut postillonner allègrement dedans, la vaisselle installée longtemps avant les repas dans laquelle tombe des milliers de particules de poussières (tiens, ça me rappelle que j’avais été assez casse-c******* pour mon mariage avec ça, n’est-ce pas Estelle ? LOL), les appuis-tête dans les transports en commun (AU-SECOURS), la colocation (sorry not sorry), les traces de doigts sur les gâteaux ou les fromages, les gens qui zappent le lavabo après être sortis des chiottes, à peu près tous les interrupteurs hors de chez moi, cette personne qui me tend son téléphone comme si j’avais vraiment envie de le toucher, les couvercles de poubelles, ces personnes qui posent nonchalamment leurs biscuits, gâteaux, sandwiches DIRECTEMENT sur la tablette du train ou la table de pique-nique publique, ou encore les fous du gel hydro-alcoolique qui ne se lavent jamais les mains à l’eau et au savon… J’en passe et des meilleures. Et, tout ça, c’était avant le Covid (oui je refuse de dire « la Covid »).
Pas étonnant que j’en vienne à « apprécier » le confinement : hygiénisme + introversion + home-office + distanciation sociale = BIG LOVE.
Evidemment, avec un chien qui – spoiler alert – MARCHE PARTERRE et un bébé de 18 mois – qui ferait quand même un peu la gueule si je refusais de pousser sa balançoire au parc parce-que-je-ne-sais-pas-combien-de-gens-l’ont-touchée-avant… je suis un peu obligée de travailler sur moi.
Maintenant que vous savez tout ça… Comment vous dire que j’ai tout de suite su que IGGI était pour moi ?
Bon, j’y vais un peu vite, je n’ai même pas pris le temps de vous expliquer de quoi il s’agissait… l’excitation sans doute.
Alors voilà : IGGI, c’est le dernier défroisseur vapeur de Laurastar, la marque suisse de référence dans les systèmes de repassage de qualité pro. Un petit appareil si puissant, qu’il défroisse toutes mes fringues, rapidement et simplement. Les plus maniaques seront par ailleurs enchantées de pouvoir l’emmener partout, du fait de sa petite taille.
Un autre truc que j’ADORE avec IGGI : cleaner et prendre soin de mes pulls en laine. Pour tout vous dire, je me « privais » de les porter car je savais que leur entretien était compliqué (comprendre « les boules de payer un pressing juste pour avoir en avoir porté un quelques heures…« , oui parce suite à quelques catastrophes maison, j’évite de les laver moi-même). D’autant plus dommage que je porte rarement mes jolies mailles dans des occasions « salissantes » ou à-même la peau.
IGGI me permet donc de profiter à fond de mon dressing, même de mes pièces les plus délicates !
Je vous explique : après avoir porté mon pull, un coup de vapeur haute pression l’assainit en un éclair… et le repulpe aussi (vous savez, en redonnant l’aspect fluffy du pull neuf, dont on raffole toutes… mais qui disparaît toujours après le premier lavage LOL !). Les fibres de mes lainages restent au top, belles et douces comme au premier jour. Vraiment un petit luxe à mes yeux cette impression de porter un nouveau pull à chaque fois.
Bon, et c’est là que vous commencez à vous demander : « Mais QUEL RAPPORT avec sa longue intro anti-bactérienne ?« . J’y arrive ! IGGI, c’est aussi un PURIFICATEUR : le premier steamer portable qui désinfecte et décontamine tissus et objets du quotidien.
Il élimine 99,9% des bactéries et des virus (dont le Covid-19) et 100% des acariens. *Résultats prouvés scientifiquement par des laboratoires indépendants.
IGGI est donc un moyen redoutable de désinfecter naturellement les matières et surfaces sans avoir recours à aucune substance chimique. Sappes, accessoires, masques réutilisables, casques de moto, poignées de portes, de valises, clefs… franchement, pourquoi s’en priver ? En tout cas, pour moi, c’est le kiff absolu !
Photos by Alexandra Christin Photographe
Article réalisé en collaboration avec Laurastar
Super ce truc, j’aimerais en offrir un à Céline et m’en offrir un, ….penses-tu qu’il est vendu en France?
Coucou ! Oui bien sûr il est dispo en France aussi :)
Súper produit je confirme