Complexe insolite et chirurgie esthétique: tout sur mon opération.

C’est donc avec cet article pas tout-à-fait comme les autres que je commence la semaine. Hier, je vous confiais être passée sur le billard en 2015. Bien que je n’aie jamais été radicalement contre la chirurgie esthétique, je dois bien avouer que cela ne m’avait jamais particulièrement tenté non plus. Ok, j’adore passer des heures à ricaner devant les sites de fails en la matière (on est toutes pareilles, non ?), mais ça n’allait pas plus loin. Pourtant, depuis quelques temps (je dirais deux/trois ans), j’ai constaté que l’acte chirurgical se banalisait, notamment dans mon entourage proche: entre mes relations professionnelles, mes copines et autres connaissances, je crois que je pourrais recenser au moins une dizaine de personnes ayant subi des interventions « lourdes » (je ne parle pas des peelings, laser, orthodontie et autres, mais bien d’un autre niveau). Je trouve ça dingue. Dingue que tout cela soit aussi « près » de moi, dans mon quotidien (et non plus uniquement sur NRJ12 ou TMZ). Et puis, finalement, voilà que j’ai franchi le cap, moi aussi.

Je me suis dit que ça pouvait être « marrant » de vous demander de deviner ce que j’avais eu tant envie de changer l’année dernière… Le moins que l’on puisse dire c’est que je n’ai pas été déçue par vos pronostics: dents, nez, seins, paupières, oreilles, pommettes, fossettes… vous n’avez épargné aucune partie de mon corps qui est sur le point de se dévoiler un peu plus aujourd’hui !

Allé, je vous donne un premier indice: ce n’était pas pour mon visage. Oh, et puis un deuxième: je n’ai rien « rajouté »… Maintenant, ça se précise: il s’agit d’une partie du corps qui a été diminuée. Procédons par élimination: vu mon tour de poitrine, on ne parle évidemment pas d’une réduction mammaire. Ni de mes fesses. Encore moins de mes cuisses. Ca aurait pu être mon petit bidon qui tend à doubler de volume très facilement ! Mais non, toujours pas. En fait, je crois que si je vous le disais vous ne me croiriez pas (heureusement que j’ai des photos pour prouver ce que je vais vous annoncer !).

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J’ai fait une liposuccion. Une micro-liposuccion pour être encore plus juste. « Micro » car il s’agit d’un tout petit endroit (je vous vois déjà vous faire des films les plus fous ahah !).

mercredie-blog-mode-geneve-suisse-costume-intemporel-noir-veste-pantalon-the-kooples-curly-hair-nappy-cheveux-afro-frises-naturels-collier-apoi-jardins-babyloneVous ne voyez toujours pas ?

Allé, je vous le dis: j’ai fait refaire mes aisselles. Et ceci n’est absolument pas une blague.

Je vous imagine déjà en train de vous dire: « Mais c’est quoi ce bordel quelle idée saugrenue !?« . C’est vrai que l’acte paraît peu courant… pourtant, ces aisselles étaient mon plus gros complexe. Un de ceux qui sont peu visibles par les autres (car, avouons-le, on tend à ne pas trop s’attarder sur les aisselles de ses interlocuteurs), mais qui vous bouffent la vie.

Tout a commencé à la fin du port de mon corset orthopédique, vers 16/17 ans (j’ai dû porter ce genre d’appareil car j’ai souffert d’une scoliose assez conséquente). Je me suis rendue compte que j’avais deux bourrelets sous les bras (qu’il me semblait ne pas avoir eu avant). Je me souviens que je les prenais plutôt à la rigolade, mes deux petits seins « satellites ». Mais, les années passant, j’ai fini par les trouver de plus en plus disgracieux (surtout en comparaison à ma corpulence plutôt fine et à ma poitrine menue), au point que je finisse par éviter le plus possible certaines fringues, comme les débardeurs, les bustiers… Je ne voyais plus que ça. Vraiment. Sur les photos, nue devant la glace, dans les cabines d’essayage…

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mercredie-blog-mode-reprendre-le-sport-nike-tenue-zalando-short-def-shop-nike-freerun-runningC’est moche.

J’en parlais souvent avec mes amies proches, mon mec aussi. L’été faisait naître en moi cette obsession toute particulière qui se résume à mater les aisselles des autres filles (WTF monumental). Et cela me confortait dans l’idée que, merde, quelque chose gâchait complètement le haut de mon corps. Quelque chose au sujet duquel tout le monde répondait « non mais tu te prends trop la tête, y’a que toi qui les voit tes bourrelets…« . Forcément « y’a que moi qui les voit mes bourrelets » puisque j’excellais dans l’art de ne pas attirer l’attention dessus (que ce soit dans le choix de mes vêtements ou celui des photos à paraître sur mon blog…).

Après des semaines de recherches sur Internet (enfin, surtout après avoir passé des mois à me tuer au sport, à fondre d’un peu partout partout, à me muscler les bras, mais à ne JAMAIS rien perdre au niveau des aisselles), je me suis motivée à consulter un chirurgien plastique. D’abord en France, sans grand succès, puisqu’on m’a expliqué qu’il n’y avait rien à faire (à part me gonfler les seins pour que ceux-ci, par le poids, « tirent » mes bourrelets vers l’avant et les fassent disparaître). Je me revois passer des journées à chercher des photos de ma nouvelle poitrine idéale (alors que ce n’était pas DU TOUT l’objet de ma requête initiale…), convaincue que ce serait la solution. Mon copain m’a alors conseillé d’arrêter mes conneries de voir un autre spécialiste, et c’est là que j’ai rencontré le chirurgien qui m’a opérée, à Genève.

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En plus d’être très rassurant (en m’expliquant que cette zone était tout-à-fait opérable), celui-ci m’a aussi expliqué les raisons de ce souci esthétique: aucun sport ni aucun régime n’aurait pu faire disparaître ces bourrelets car il s’agissait en réalité d’un amas de tissu mammaire (qui avait en gros « migré » pour se caler près de mes aisselles). Il y avait donc une part de réalisme dans ma tendance à les appeler « mes troisième et quatrième tits ». Ce n’était pas de la graisse à faire fondre mais bien quelque chose contre lequel je ne pouvais, finalement, rien faire.

Dix jours plus tard, je me rendais à la clinique pour une micro-liposuccion (sous anesthésie locale). L’opération en elle-même était plutôt désagréable voire carrément douloureuse par moment (bien qu’elle ait duré à peine plus de 45min)… mais qui a porté ses fruits.

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Avant (je me trouve tellement monstrueuse sur cette photo…)

DSC_0917Après 2 mois

mercredie-blog-mode-operation-chirurgie-esthetique-aisselles-bras-bourrelet-graisse-liposuccion-micro6 mois plus tard

Aujourd’hui, j’ai enfin l’impression d’avoir un corps normal et, surtout, harmonieux, c’est-à-dire en équilibre avec le reste de ma morphologie. Évidemment il me reste des « mini-bourrelets », je n’ai pas le pli ultra lisse (« je n’ai pas le pli ultra lisse« , LOL je me fais rire moi-même…) mais je me sens enfin à l’aise.

Celles qui me suivent sur Instagram savent déjà que l’année 2016 sera spéciale pour moi: je suis tellement heureuse de me dire que je pourrai porter à peu près n’importe quelle robe…

Note importante: une lectrice (merci Lenna !) m’a informée qu’elle avait pu se faire rembourser à 100% par la SS car il s’agit d’une « polymastie ».

TOUT sur ma cure « detox » Fit’n’Tasty aux jus de fruits et légumes !

J’ai testé la « cure detox » Fit’n’tasty la semaine dernière… Autrement dit, je n’ai consommé QUE des jus de fruits et légumes frais sur une durée de 3 jours.

J’ai toujours eu un régime alimentaire assez freestyle: faire attention à ce que je mange n’a tout bonnement jamais fait partie de mes habitudes (d’où mon cynisme assez récurrent sur la tendance « healthy »…). Si j’adore les fruits, je n’ai en revanche jamais eu de véritable attirance pour les légumes… Comme je l’ai toujours dit, la vie est trop courte pour manger de la salade. Un bout de poivron peut me gâcher un plat, manger des crudités est une véritable épreuve et j’avoue avoir du mal à cacher ma déception lorsque l’on me sert un gazpacho en entrée (à mes yeux, une des pires inventions culinaires de l’humanité). Voilà voilà. Les légumes c’est joli, Arcimboldo gère sa mère et tout… mais, par pitié… pas de ça dans mon assiette. J’ai probablement un petit souci psychologique puisque même les herbes de Provence me donnent des sueurs froides. Il y a bien deux-trois légumes que j’aime (que j’adore, même !): les lentilles, l’artichaut, les asperges, le maïs… mais, comment dire… je peux trèèèèès bien m’en passer ;)

Pour couronner le tout (je sais, vous me prenez désormais pour une vraie cas-soc’…), je ne bois que très peu. Et ça, c’est clairement mauvais ! Je dois à peine être à un litre par jour. Je n’ose même pas dire « un litre d’eau » puisque ce n’est quasiment jamais de l’eau: je suis toujours obligée de rajouter un peu de sirop ou, pire, de me tourner vers des sodas ou des jus car… je n’aime tout simplement pas l’eau (!). J’essaye bien, de temps en temps dans l’année, de me forcer à en boire « beaucoup »… mais cela ne m’est tout simplement pas naturel (c’est le comble), du coup, je finis toujours par revenir à mes vieilles habitudes de faible hydratation… Et sinon, je suis toujours vivante hein.

Pas mal mon intro, non ? Disons que maintenant vous êtes bien fixée sur le personnage… et la teneur du challenge du « 100% jus » pour moi ! Ne me demandez pas pourquoi j’ai eu envie de tenter cette « juice detox » (qui, vous l’avez bien compris, va plutôt à l’encontre de mes habitudes alimentaires), ça m’est venu comme ça. J’avais sans doute envie de voir quels pouvaient être les effets de ce tout nouveau genre de consommation sur mon corps, mon organisme, mon moral etc.

J’ai eu la chance de pouvoir tester la cure sur 3 jours proposée par Fit’n’tasty (proposée en Suisse exclusivement). J’avais déjà pas mal entendu parler de ce genre de « diets », que ce soit dans mon entourage ou sur les réseaux sociaux.

Que nous promet cette cure ?
« Un corps reboosté », « un plein d’énergie grâce aux vitamines, enzymes et minéraux présents en abondance dans les fruits et légumes sélectionnés » et un « début parfait pour un régime ou un changement de vos habitudes alimentaires ». Je trouve que ça sonne plutôt bien.

Combien de temps durent les cures Fit’n’tasty?
Vous avez le choix entre 1, 3, 5 et 7 jours. Pour ma part, j’ai choisi une durée de 3 jours.

De quoi est-elle composée ?
J’ai choisi la cure « First Date » qui compte 5 jus par jour:

mercredie-blog-geneve-suisse-fit-n-tasty-juice-detox-jus-fruits-legumes-locaux-bio-test-avis-diet1 – Gingembre, citron, eau
2 – Pomme, poire, épinard, concombre, spiruline
3 – Carotte, pomme, kiwi
4 – Betterave, pomme, carotte, persil, citron
5 – Poire, laitue, céleri, concombre, persil, citron

Cette cure nous invite à avoir un repas léger à midi (avec des suggestions de la part de Fit’n’tasty) et il faut attendre environ 2h entre la consommation de chaque jus.

D’où viennent les jus de fruits et légumes ?
Tous les légumes et fruits utilisés sont bio et proviennent essentiellement de la région. Ils sont pressés à froid à Lausanne (si je ne m’abuse).

Comment ça s’est passé ? Est-ce que c’est bon ? T’as survécu ?
C’est probablement ce qui vous intéresse le plus, n’est-ce pas ? ;) Sachez qu’avant de vous lancer dans la cure, une petite préparation de 3 jours est nécessaire pour marquer la « transition ». Pendant cette période, j’ai réduit progressivement ma consommation de viande et poissons, de produits laitiers, d’œufs… pour arriver à ne manger que des légumes et fruits à J-1. Jusque là, rien de trooooop compliqué (ça me change un peu quand même !): tout vous est expliqué dans le petit guide détaillé envoyé par Fit’n’tasty avant de recevoir vos produits.

Jour 1:
Honnêtement, et DE LOIN, le jour le plus dur..! J’étais excitée comme une puce au moment où le livreur est arrivé chez moi (à 8h du matin environ), avec son colis réfrigéré plein de bonnes vitamines ! J’ai immédiatement bu mon premier jus (citron/gingembre) pour le petit « petit-déjeuner », parfait pour « décrasser » et franchement bon !

… mais j’ai vite déchanté au moment de boire le second jus de la journée, à base notamment de concombre: j’ai horreur du concombre, or le goût est particulièrement présent dans ce jus (j’aurais dû renseigner Fit’n’tasty qui accepte de changer certains ingrédients dans ce genre de cas ! tant pis… je vais me surpasser !). A ce moment là, je me suis vraiment demandée dans quoi je m’étais embarquée ahaha (d’autant plus que TOUS mes collègues avaient des plats succulents pour leur pause déj…) ! Je n’avais pas réellement « faim », c’était vraiment la gourmandise qui parlait… Et celle-ci a été pour le moins bavarde. Jamais je n’avais réalisé combien TOUT LE MONDE parle TOUT LE TEMPS de bouffe ! Je me rappelle encore de cette maman dans mon bus qui détaillait par le menu, au téléphone, la recette du « cake tyrolien aux Smarties » que ses gamins avaient adoré pour leur anniversaire… Erf. J’en salivais.

Du coup, pour mon déjeuner, j’ai opté pour un verre de lait de riz (encore une fois, parce que je n’avais pas faim du tout… et que j’avais envie de rester au « tout liquide » le temps de cette cure ! si vous ressentez une grosse sensation de faim, il vaut mieux opter pour quelques crudités ou les repas suggérés par Fit’n’tasty), boisson que j’ai toujours trouvé assez « filling ». Ca m’a largement suffit, et comme j’ai un faible pour le goût de cette boisson, j’ai pu satisfaire ma gourmandise un minimum ;)

Le troisième jus, pris en début d’après-midi, était également très bon (carotte, pomme, kiwi) et était comme un petit goûter sucré pour moi. Le quatrième était sympa aussi (à fort goût de betterave), même si, à ce moment là, je commençais un peu à me poser des questions: encore une fois, tout le monde parlait bouffe, mon Instagram était rempli de #pornfood et les pubs TV de fin de journée étaient toutes très alléchantes… Le moment le plus dur a été la consommation du dernier jus, environ une heure avant d’aller au lit, pour la simple et bonne raison qu’il avait lui aussi un fort goût de… concombre (#PrissouEnSouffrance). Je suis allée au lit avec, je ne vous le cache pas, une très forte envie d’aller voir ce qui se passait dans mon frigo… Mais j’ai fini par m’endormir ;)

Jour 2:
Je me réveille comme une fleur (cette expression existe-t-elle réellement ?), alors que d’habitude c’est plutôt #zombieland ! Je n’en reviens pas. Est-ce que c’est l’absence de « digestion » qui est responsable de cet état (sachant que j’ai tendance à manger très tard, généralement) ? Sans doute. Je me réjouis à l’idée de boire mon petit jus gingembre-citron et je file au taf avec mes jus de la journée dans mon sac. Il faisait plutôt très chaud ce jour là, donc j’ai naturellement kiffé ne boire « que » des jus bien frais ! Même le goût du concombre passait un peu mieux que la veille ;) je n’ai ressenti aucune sensation de faim, et pour être honnête, une fois le midi passé, je me suis dit que j’avais déjà fait la moitié de ma cure et que ce serait idiot de ne pas la finir « correctement » ! Mentalement, j’étais Xena la guerrière.

Jour 3:
Après une nouvelle nuit de sommeil trrrrès profond et réparateur, j’ai entamé ma journée en mode winneuse ! Je n’avais pas DU TOUT faim, même les céréales et autres conneries Doowap (oui, je mange des Doowap… quand j’ai plus de Pitch) présents dans mon garde-manger ne me faisaient pas envie ! Je me sentais super légère et en pleine forme, prête à terminer ma cure en beauté :) J’ai eu la certitude de pouvoir finir ma cure sans aucun problème, je me sentais même prête à la poursuivre encore quelques jours, pour vous dire ! Et c’est ce qui s’est passé… Enfin presque. J’avoue ne pas avoir bu mon DERNIER jus car je n’en pouvais plus du fameux goût de concombre. Voilà mon seul « écart » sur 3 jours. J’ai remplacé celui-ci par une de mes tisanes favorites, l’infusion détox Fleurance Naturelle (au délicieux petit goût d’anis !) ;)

Qui c’est qui termine sa cure @fitntasty en mode EASY EASY ? C’est moi !!! 🍋🍓🍍🍇🍒🍆🍅 Je suis trop fière de moi, c’est la PREMIÈRE FOIS que j’arrive à suivre un régime alimentaire un peu « strict » sans craquer (même si la journée n’est pas finie, je sais que je vais la terminer sans problème avec mes 5 jus 😝). J’ai trouvé le premier jour assez rude et frustrant… Mais aujourd’hui je crois que je pourrai même continuer la cure un jour ou deux, à croire que le corps s’adapte (et apprécie !). Bref je vous ferai un bilan détaillé bientôt sur le #blog ! En attendant si les produits #detox #FitNTasty vous tentent, vous pouvez utiliser le code MERCREDIE pour obtenir -10% sur votre commande 👍

Une photo publiée par Priscilla Rossi (@mercredieblog) le

Je porte un collier Boutique Minimaliste

Les jours d’après:
J’ai progressivement réintroduit les aliments solides à mon alimentation, en commençant par des fruits et légumes, et en revenant tout doucement aux aliments type poissons et fromages (ahhhh le FROMAGE, mon dieu qu’il m’avait manqué lui !). A ce jour, je n’ai toujours pas remangé de viande… #FOU

Et au niveau du poids ?
J’ai bien évidemment perdu du poids: 1,5 rien que sur les 3 jours (un peu plus en comptant les 6 jours de transition). Mais je suis déjà en train de les reprendre (normal quand on retourne aux aliments solides !). La cure n’est donc pas à recommander pour une perte de poids durable… mais elle est indéniablement idéale pour obtenir un ventre plat (et l’effet dure plusieurs jours vu que, très honnêtement, on n’a pas vraiment envie de manger lourd après… donc pas de ballonnement !).

 

Vernis (#Monop) assorti au maillot (@rougegorgelingerie) 😜

 

Une photo publiée par Priscilla Rossi (@mercredieblog) le

Maillot de bain Rouge Gorge Lingerie (haut et bas)

Cette cure fut donc une expérience très intéressante, non seulement d’un point de vue physiologique, mais aussi « mental » ! Pour la première fois, je me suis sentie en « total contrôle » de mon corps et de mes envies (alors que d’habitude je suis la première à craquer et à me jeter sur bonbons, pâtisseries et autres sucreries !). J’ai également eu l’impression de faire beaucoup de bien à mon corps et cela s’est notamment reflété à travers la qualité de mon sommeil et mon absence totale de fatigue (je n’ai jamais aussi bien dormi que durant ces 3 jours, je n’ai pas baillé de la journée, je n’ai ressenti aucun coup de barre au boulot… bref, j’étais vraiment en pleine forme !).

Je ne saurai donc que vous conseiller de tester ce genre de cure (sur un ou trois jours pour commencer !), à la condition bien sûr que vous soyez en bonne santé (prenez le temps de demander l’avis d’un professionnel de la santé si vous êtes enceinte, en train d’allaiter, si vous êtes malades ou fragiles etc… on ne déconne pas avec ça).

Si l’expérience vous tente, utilisez le code MERCREDIE pour obtenir une réduction de 10% sur le site Fit’n’tasty ;) et, surtout, revenez ici me raconter comment ça s’est passé ;) des bisous !

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