J’ai testé pour vous… la culotte menstruelle FEMPO !

Ivre, elle se décide à vivre en slip et expose son nouveau choix de vie décadent partout sur les internets.

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Mais non.

Ce n’est pas non plus un de mes fameux #ootd (un hasthag so 2015 qui fait encore vibrer mes feeds IG et FB).

Aujourd’hui j’aimerais vous parler de manière plus détaillée des fameuses… culottes menstruelles (aussi affectueusement nommées « culotte de règles »).

J’en vois déjà venir: « Mais c’est super perso comme sujet« , « C’est dégueu« , « C’est chaud de parler de ça sur un blog« . Certes, ce n’est pas le sujet le plus classique à aborder, mais en même temps vous êtes majoritairement des femmes à me lire… et jusqu’à preuve du contraire, on y passe toutes une fois par mois. Par ailleurs, j’ai tellement eu la révélation avec ces culottes qu’il fallait que je vous en parle (déjà fait sur Instagram mais vu les réactions que ça avait suscité, autant dédier un article !).

J’ai eu l’occasion de tester le modèle FEMPO, une jeune marque française, à vrai dire la première à proposer ce genre de produit.

 

Alors, qui est vraiment cette culotte et quels sont ses réseaux ?

C’est une jolie culotte de couleur noire, aussi confortables que la plus bonne de tes culottes, à la différence qu’elle est doublée et qu’elle se porte en période de règles, faisant ainsi office de protection hygiénique.

 

Comment ça ? Ça remplace un tampon ou une serviette ?

Tout-à-fait. Malgré sa finesse, la culotte FEMPO retient les fluides et peut être portée toute la journée.

mercredie-blog-mode-geneve-geneva-suisse-switzerland-fempo-culotte-menstruelle-avis-review-test-de-regles7Genre là je la porte et je suis pas en train de faire des imprimés sur ma housse de couette, ça va

 

Mais bon sang (!), c’est pas possible ? Comment ça fonctionne ?

Alors là, je vais simplement vous copier-coller l’explication de la marque car je ne saurais faire mieux: « Le premier tissu est en coton, guide le sang et permet de garder cette sensation de peau sèche. La deuxième est absorbante et garde le sang à l’intérieur de la culotte. Le troisième tissus est imperméable et respirant, il retient le sang et empêche les fuites !« .  Pas de nanoparticules d’argent, composée de textiles CERTIFIÉS OEKO-TEX® | STANDARD 100 (comme pour les nourrissons): aucune sensation d’humidité, pas d’odeur, que du confort et de la sécurité (et c’est joli en plus !).

 

Tout le monde peut l’utiliser ?

Je recommanderai surtout la culotte portée seule aux flux légers à moyens, au-dessus, n’hésitez pas à essayer petit-à-petit afin de voir par vous-même jusqu’où vous pouvez aller (testez donc un peu vos limites !). Vous pouvez aussi la porter en complément d’une cup ou d’un tampon.

Update février 2019: la marque vient de lancer son modèle Flux++ !

 

Et après t’en fais quoi, tu la jettes ?

mercredie-blog-mode-geneve-geneva-suisse-switzerland-fempo-culotte-menstruelle-avis-review-test--de-regles7Voilà, là je viens de la jeter au plafond

Ben non, elle se lave (en deux temps: d’abord on la rince bien à la main et l’eau froide, puis on la balance au lave-linge, sans aucun risque de tâche ou autre, n’ayez crainte) ! On évite cependant les hautes températures et l’adoucissant. Il s’agit donc d’une solution durable et écologique !

 

Où ça se trouve et combien ça coûte ?

A commander directement sur le site, au prix de 29,90€ (prononcé avec la voix de Pierre Bellemare, RIP). Existe aussi dans sa version shorty.

mercredie-blog-mode-geneve-geneva-suisse-switzerland-fempo-culotte-menstruelle-avis-review-test--de-regles3NB: celles qui souhaitent exposer fièrement leurs vergetures préfèreront, comme moi la culotte au shorty… mais c’est vous qui voyez.

 

Et donc, tu recommandes… ou pas ?

Mille fois OUI ! Déjà parce que ça rend les règles un peu plus chouettes et tellement moins compliquées. Évidemment c’est un autre « rituel », une nouvelle habitude à mettre en place… mais ça en vaut la chandelle. L’idéal étant pour moi d’en avoir au moins 3 ou 4 pour ne pas être à court (plus encore si vous voulez en porter pendant la nuit !). Ensuite, parce que ce genre de culotte représente pour moi un pas vers la simplicité, le confort et la durabilité pour toutes les femmes du monde (de la working girl qui doit faire mille choses en même temps à la jeune fille de pays en voie de développement qui doit parfois manquer l’école car en manque de protection…).

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Par ailleurs, en comparaison avec d’autres marques (notamment étrangères), acheter une culotte FEMPO vous reviendra globalement moins cher (pas de frais de douane, celles qui ont la chkoumoune apprécieront), votre commande arrivera à la vitesse de l’éclair…

Et en plus, avec le code « MERCIPRISCILLA » (en majuscule, déconnez pas), vous bénéficierez d’une garantie « satisfait ou remboursée pendant 60 jours. La marque étant toute jeune, ce genre de promesse courageuse devrait bien vous convaincre, non ?

Voili voilou, rdv sur la FAQ du site si vous avez d’autres questions… ou posez-les moi tout simplement en commentaires ;)

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mercredie-blog-mode-geneve-geneva-suisse-switzerland-fempo-culotte-menstruelle-avis-review-test--de-regles4Culotte FEMPO (descriptif tenue le plus court du monde des blogs)

Article réalisé en partenariat avec la marque FEMPO.

Se désencombrer.

Aujourd’hui un petit article que j’aurais dû partager bien plus tôt ici, mais manque de temps… mon mal du siècle.

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C’est sûrement la trentaine qui approche à grand pas: je passe beaucoup (trop) de temps à relativiser sur, justement, le temps qui passe. Hashtag « my baby nostalgie wahou« .

Déjà, la pression des réseaux sociaux et des médias qui ma balance H24 la vie parfaite et ô combien réussie de superstars et autres génies du web, d’entrepreneurs brillantissimes, d’artistes faramineux… tous âgés entre 16 et 18 ans (!). Ça aide pas. Et c’est sans compter le cours de la vie (la vraie), celles où les premiers mariages, premiers bébés et premières autres décisions importantes fleurissent de toute part autour de moi. Moi franchement, j’aimerais juste profiter encore un peu de ma petite vie « d’adulescente » (hé oui, encore un mot à la con, mais qui me correspond finalement tellement bien !). C’est normal de se dire que tout est passé beaucoup trop vite à seulement 29 ans ? Je pensais qu’on commençait seulement à y penser une fois en maison de retraite.

De nature nostalgique, j’ai toujours eu tendance à ressasser les souvenirs, à tout revoir, tout réinterpréter… avec un plaisir certain d’ailleurs, allez savoir pourquoi. Et à force « d’analyses », je me suis rendue compte d’un truc (autant que ça serve): mes épisodes de vie les plus douloureux (amoureux, amicaux, scolaires…) sont presque tous liés à une gestion du temps très médiocre. Contrairement à beaucoup d’enfants et d’ados plutôt « impulsifs », j’ai pour ma part souvent laissé traîner les choses et situations qui me dérangeaient, espérant une magique soudaine amélioration. La peur de prendre des décisions sans doute (le bon gros flou artistique qui vaut mieux que la fameuse vérité qui fait mal). Quand j’y repense, je n’y vois que du temps gâché: et si j’avais dit « stop » ? et si j’avais osé dire ce que je ressentais vraiment ? et si j’avais simplement suivi mon intuition ?… j’aurais sûrement eu l’occasion de vivre des choses bien plus intéressantes (au lieu de stagner dans une position inconfortable).

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Moi qui contemple mon passé.

Heureusement (pour moi), ça a changé. Radicalement même. Plus que jamais, je sais aujourd’hui combien chaque instant de vie est précieux et doit être exploité à son maximum, de sorte qu’il me rende heureuse (moi avant les autres, pour une fois). Conséquence: je ne supporte absolument plus de perdre mon temps avec ce qui m’emmerde, me fait du mal ou tout simplement avec les individus qui ne me comprennent pas. J’ai définitivement perdu patience. On entend souvent que « le temps, c’est de l’argent ». Pour moi, le temps c’est plutôt un luxe absolu, que je ne laisse plus personne gâcher.

Optimiser son temps, ça commence déjà par savoir dire « non ». Non aux choses que je n’ai pas envie de faire, non à certaines propositions, non à certaines personnes. Non à tous ces trucs que je n’aurais jamais osé contester il y a encore quelques années en arrière.

Rien que ça, c’est libérateur de ouf.

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Moi après avoir répondu « non » à ta demande.

C’est aussi faire du tri.

Les jours passent, le bordel (physique ou immatériel) s’accumule et me fait perdre du temps chaque jour. J’ai donc fait le ménage dans tout:
Les comptes que je follow sur les réseaux,
Les newsletters à la con que je reçois chaque jours (désinscrivez-vous !!!),
Les programmes que je regarde à la télé,
Les emails débiles auxquels je me sentais obligée de répondre avant (par politesse),
Les applis que j’utilise et, SURTOUT, les notifications qu’elles m’envoient (est-ce que j’ai vraiment BESOIN de savoir dans la minute qui a commenté ma photo d’il y a 3 ans sur Instagram ou qui a liké mon dernier tweet ? Nope.),
Mes contacts facebook (est-ce vraiment utile de garder quelqu’un dans son réseau uniquement pour pouvoir bitcher dessus ou l’espionner ? Not so sure. En fait c’est vraiment un truc de no-life),
Dans mon garde-manger (non, cette conserve de poivrons farcies qui occupe depuis 4 ans l’étagère ne vas pas par miracle se retrouver dans mon plat le plus réussi de l’année),
Dans mes fringues (pour celles qui n’ont pas déjà été envoyées au tri ou dans les bennes de récup),
Dans ma relation avec mes cheveux (est-ce que j’ai vraiment besoin de passer 20min tous les matins à les remouiller / recoiffer, et 3h tous les dimanches à les laver ? NON. Terminé, et en plus d’avoir le temps de faire autre chose, mes cheveux ne s’en portent que mieux…) (est-ce que j’ai besoin de TOUS ces produits ? Non. Et pareil, mes cheveux sont ravis). La vie est courte, l’idée de me dire que j’aurais passé je ne sais pas combien de jours (semaines ? mois ? années ? aaargh !) au total à m’être religieusement occupée de mes cheveux me rend même malade !
Dans ma façon de collaborer avec les marques (c’est pas un peu stupide de recevoir 15.000 produits chaque jour alors que je sais pertinemment que je ne les utiliserai pas et que ça n’intéressera pas plus que ça les personnes qui me suivent ? est-ce que j’ai pas plus intéressant à faire dans ma vie que d’ouvrir des colis ?).

Et vous savez quoi ? Ca fait un bien fou. J’ai pas lu Marie Kondo mais je suis sûre qu’elle approuverait ce message.

Enfin, optimiser son temps c’est aussi faire son tri social. L’autre jour, je lisais un truc qui disait « La vie, c’est comme un sac-à-main« : qu’il soit grand ou petit, il contient un paquet de choses, des trucs indispensables (comme mes clefs, mon porte-feuille, mon téléphone…) mais aussi des trucs moins utiles (comme des vieux tickets de caisse, des cartes fidélités de magasins que l’on ne fréquente jamais, une panoplie de stylos, des emballages vides…). Le sac devient alors, avec le temps, beaucoup trop lourd pour pas grand chose puisqu’il devient très compliqué de mettre la main sur ce qu’on cherche quand on en a besoin (on se retrouve à devoir fouiller au milieu de tous les trucs inutiles qui ont fini par encombrer le dit sac-à-main). Certaines relations peuvent ainsi apporter beaucoup de bonheur et de satisfaction tandis que d’autres sont plus des boulets qu’autre chose. Alors oui, la démarche peut évidemment sembler égoïste… mais se demander si une relation est essentielle, imposée, superficielle ou toxique, c’est tellement important, notamment parce que ça permet de se recentrer sur celles qui comptent vraiment, en leur accordant plus d’énergie et de disponibilité (n’étant plus polluée par les autres). En gros, c’est tout bénéf’ comme disent les vieux de mon âge (et pas si égoïste que ça tout compte fait).

Petit à petit donc, j’ai fini par libérer beaucoup d’espace, dans ma tête et dans ma vie, et finalement je dépense mon énergie sur ce qui compte vraiment. C’est très bête et ça sonne comme une phrase cliché de pub télé de produits minceur… mais c’est la vérité vraie.

Qu’est-ce que t’en dis Larry ?

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RDV plus bas pour découvrir le détail de mon total look Zalando :)
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Veste Topshop (ancienne co) – Jean Selected (similaires ici, ici et ici) – Pull Levis – Bottines Aldo (similaires ici, ici, ici, ici, ici, ici et ici)
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