Si vous n’aimez pas cette robe, je vous recommanderai de vous éloigner le plus vite possible de mon blog et de tous mes réseaux sociaux…
… parce que vous allez en bouffer! Ahaha ! Mais n’est-elle pas sublime ?
Je suis tombée dessus par hasard, alors que je faisais les boutiques à Santander (en mode express, 2h avant de me rendre au mariage auquel j’étais invitée, #tranquilloubilou). Elle vient de chez Bimba Y Lola, une marque que je ne connaissais pas très bien (si ce n’est ce magnifique pull rouge qui avait littéralement fait mon hiver 2015-2016) (l’avantage de tenir un blog c’est qu’on peut dater les tenues) et sur laquelle je vais, dorénavant, garder un œil. Allez, je lui pardonne de m’avoir vendue la robe plus chère en Espagne et en soldes que sur le e-shop français actuellement.
Je vous avais demandé, depuis ma cabine d’essayage, si vous pensiez qu’elle pouvait le faire pour l’occasion. Vous m’avez quasiment toutes tuée dans mon délire. Sans pitié. LOL. C’était un peu comme me retrouver devant cinquante Cristine Cordule (j’ai accordé) me criant « Non y’a trop d’informations là ma chérie !« , « C’est pas correct pour une mariage !« , « Ça fait pas très mature comme coupe !« . Morale de l’histoire, vous avez eu raison. Comme quoi hein, c’est beau les réseaux sociaux, même quand on se fait découper.
Trève de plaisanterie, rendez-vous en fin d’article pour le fameux concours… :)
Le voici, le voilà, mon petit concours Instagram x Henry London: je vous propose en effet de remporter la jolie montre que vous avez vue dans ce look (il s’agit du modèle « Knightsbridge »).
Pour participer, c’est très simple, il vous suffit de:
1. Suivre mon compte Instagram (@mercredieblog) ainsi que celui de la marque (@henrywatches)
2. Laisserun petit commentaire sous cette photo:
Et C’EST TOUT ! Vous pouvez participer depuis tous les pays de l’espace Schengen (celle-là elle est pour les françaises qui râlent quand je fais des trucs pour les suissesses !). Vous avez jusqu’à lundi 10 juillet minuit pour participer ! Je tirerai un commentaire au sort et la gagnante sera annoncée sur ma page Facebook et dans ma story Instagram.
BONNE CHANCE À TOUTES !
PS: ça ne sert à rien de participer dans les commentaires de cet article (je précise parce qu’il y en a toujours deux ou trois qui le font exprès pour me provoquer je crois)… mais encore une fois, ça me fera plaisir quand même d’avoir de vos news par ici ;) allé bisous.
A l’heure qu’il est, les plus énervées d’entre vous font sans doute la queue devant le H&M le plus proche pour pouvoir décrocher une des pièces Kenzo (j’espère juste que vous avez bien vérifié les magasins revendeurs, ce serait idiot…). Vraiment, les collabs H&M c’est un sacré truc d’énervé… auquel J’ADORE participer. Surtout depuis que j’ai été upgradée au rang d’invité « VIP » (tout est relatif), ce qui me permet d’avoir accès aux préventes. C’est peut-être un détail pour vous mais pour moi ça veut dire beaucoup: je me revois en 2013, à faire la queue dans un froid glacial dès 6h45 du matin, avec mon amie Bianca, dans l’espoir de pouvoir shopper une des pièces phares de la collection Isabel Marant. Échec intergalactique. La plupart des articles s’étaient déjà volatilisés.
Cette année, INNOVATION donc. Je suis invitée par le magazine Boléro à découvrir la collection en avant-première la veille du lancement officiel, afin de pouvoir faire mon shopping « tranquillou » et siroter une coupette entre deux hors d’œuvre. Je me réjouis tout d’abord de l’invitation, puis je réalise que, finalement, Kenzo c’est pas forcément ma tasse de thé. Enfin si, mais pas mon thé préféré quoi. Du coup le jour de la pré-vente, j’hésite un peu à y aller, surtout que je découvre que la « soirée » commence à 17h (QUI sont ces gens qui peuvent assister à des soirées à 17h ?). Et puis finalement à 17h45 je me décide à partir du taf et à aller y jeter un œil… à partir de là TOUT s’accélère.
A peine entrée, je me rends compte que le flagship de Genève a mis le paquet niveau ambiance (dj tout ça tout ça) et, surtout, que même pour une vente VIP, ça va être la guerre. J’avoue m’être tout de suite prise au jeu (alors qu’a priori le seul truc qui me branchait, c’était le t-shirt tout simple « Kenzo Jungle » et qu’il en restait plein). Mais il faut croire que je me suis laissée prendre par l’atmosphère toute particulière de ce genre d’événement: une sorte de chasse au trésor, un poil violente, où chaque personne croisée est une menace potentielle (mais aussi votre meilleure amie, surtout lorsque celle-ci s’apprête à rendre un article trop grand / petit, justement à votre taille à vous !) et où, à tout moment, un bonus peut surgir (= quand le vendeur remet en rayon une pièce que l’on pensait portée disparue à tout jamais). Tout cela est vraiment très riche sociologiquement parlant:
Les photographes: j’en ai vu passer la soirée à shooter les petits-fours.
Phrase fétiche: « Une photo ?»
Les reines du bénéf’: souvent plus âgées que la moyenne, ces personnes n’ont visiblement pas une grande affinité avec la marque en termes de style… ce qui ne les empêche pas de se déplacer avec quatre shopping bags remplis à mort. Finissent souvent la soirée sur eBay.
Phrase fétiche: « Je cherche la pièce la plus chère s’il vous plaît !»
Les frénétiques: si vous tenez à vos doigts, évitez de scruter les mêmes portants que ces individus. Nous avons là des professionnelles du claquage de cintres.
Phrase fétiche: « P***** fait ch**** ! » ou « YESSSSSSS ! », c’est selon.
Les vendeurs: la team H&M est, je dois bien le dire, à chaque fois exceptionnelle ! Je suis toujours impressionnée de voir ces gens garder leur sang froid dans ce genre de situations surréalistes. En plus d’être disponibles, ils sont efficaces: on m’a demandé 10 fois si j’avais besoin d’aide… 10x j’ai répondu « non », convaincue que ma taille était partie… finalement j’ai osé poser la question… et on m’a trouvé l’article en question ! #magiciens ?
Phrase fétiche: « Vous vous en sortez ?»
Les époux seuls: eux, on les reconnaît de loin. Ils ne bougent généralement pas d’un centimètre de la soirée mais arrivent quand même à remplir leur shopping bag. La technique: s’accaparer un vendeur et faire défiler l’écran d’iPhone (#truestory).
Phrase fétiche: « Alors elle veut ça, ça, ça, ça…»
Les gens normaux: posent les questions que tout le monde a honte de rendre publiques, attendrissants.
Phrase fétiche: « Ca fait pas un peu pyjama ? » ou « C’est quand même très coloré… » (souvent complétée par une voix tierce assurée « Ah bah c’est très Kenzo hein ! »)
Les ultra: connaissent la marque par coeur, parlent comme s’ils étaient cousins avec M. Takada. S’appellent probablement Kenzo.
Phrase fétiche: « C’est bien mais ça vaut pas la collection printemps – été 2001… »
Les blogueuses mode: souvent en troupe pour pouvoir faire des selfies de groupe (en portant toute la même robe, c’est plus stylé !) (#truestory).
Phrase fétiche: « Il / elle / ça te va trooooop troooop bien ! » ou « Dis-moi hein si tu le prends pas !»
Les duos fusionnels:l’esclave la mère enchaîne les allers-retours en rayon, missionnée par sa fille depuis les cabines (#truestory).
Phrase fétiche: « Je te jure qu’il n’y est plus, j’ai vérifié 17 fois»
Les gens à l’ouest: arrivés en retard, découvrent la collection sur le tas, chopent ce qui passent, trouvent parfois la bonne taille… vous l’aurez compris, cette partie est autobiographique.
Phrase fétiche: « C’est moi ou tout est déjà parti ?»
Voilà voilà. Au final, on porte pas tous le même maillot mais on a la même passion <3 (et on est tous facilement reconnaissables à l’énorme sac Kenzo vert et rose fluo d’un mètre de long que l’on se trimballe tous sur l’épaule une fois sortis du magasin).
Pour ma part, je repars donc avec deux t-shirts, un sweat…
Et cette superbe robe dont on a déjà beaucoup parlé avant la sortie officielle…
Vous l’avez peut-être déjà vue sur mon compte Instagram ou Facebook ;)
Une photo publiée par Priscilla Rossi (@mercredieblog) le
Elle me plaît beaucoup, je me demande si je la porterai vraiment, je me donne encore quelques jours pour réfléchir..!
Sachez que les pièces (et en particulier les plus extravagantes) sont extrêmement qualitatives (tissus lourds, broderies soignées… bref un vrai plaisir pour tous les sens), en plus d’être esthétiquement réussies ;)